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Grégory GARESTIER puni en correctionnelle

Nous nous étions exprimés à plusieurs reprises sur les excès observés sur les réseaux sociaux, en particulier venant de certains élus de l’équipe de M. GARESTIER qu’il tolérait. Nous étions intervenus à plusieurs reprises en conseil municipal. Bien que nos noms soient délibérément et régulièrement salis sur les réseaux sociaux, nous n’avons jamais répondu ni réagi. Visiblement rien n’y faisait, les excès continuaient impunément.
Jusqu’à cette tribune de décembre 2017, publiée dans le bulletin municipal qui est financé par nos impôts, en apparence signée des 25 élus de la majorité municipale (l’équipe de M. GARESTIER).
Cette expression n’était pas anodine puisqu’elle m’attribuait nommément la responsabilité de certains faits délictueux qui seraient intervenus lorsque j’étais adjoint aux finances, faits qui n’existent pas.
Cette expression portait atteinte non seulement à mon honorabilité mais aussi indirectement à celle de ma famille puisque mon nom était seul cité.
Je me suis donc résolu à déposer une plainte en diffamation devant le Tribunal de Grande Instance de Versailles.
La 8ième chambre du tribunal correctionnel a rendu son jugement lundi 18 novembre dernier :
 M. Grégory GARESTIER est reconnu coupable du délit de diffamation publique envers M. Michel CHAPPAT, en sa qualité d’ancien adjoint aux finances.
 M. Grégory GARESTIER est condamné à verser à M. Michel CHAPPAT la somme de 5.500 € au titre de dommages et intérêts.
 M. Grégory GARESTIER est condamné à une amende pénale de 1.500 €.
 L’Exécution provisoire est ordonnée.
 De même que la publication du jugement dans le bulletin municipal de Maurepas et sur le site de la ville pendant deux mois.
Dans un numéro d’équilibriste communicant habituel, M. Grégory GARESTIER a immédiatement réagi sur les réseaux sociaux. Il indique, avant même que le jugement ne lui ait été délivré, qu’il fera appel, ce qui nous fait envisager un appel incident de notre part pour alourdir sa peine puisqu’il ne comprend pas. Il estime que, entre élus, on peut se permettre ce genre de mise en cause.
Eh bien, pas nous ! Eh bien pas moi !
Si on veut continuer à ternir l’image du Politique on agit comme le considère Grégory GARESTIER, c’est-à-dire qu’on peut se permettre tout en politique et en particulier en campagne électorale, comme il me l’a dit et comme semblent le considérer ses principaux adjoints. Et d’ailleurs, ils n’ont visiblement pas compris puisqu’ils continuent sur les réseaux sociaux.
Eh bien, ce n’est pas notre façon de faire et nous le prouverons dans la prochaine campagne électorale. Les discussions sur les actes, les réalisations, les options de politiques publiques, les choix : OUI. Les attaques contre les personnes, surtout par insinuation : NON.
Il est grand temps que ces pratiques détestables disparaissent du paysage politique dans notre Pays.

Michel CHAPPAT

M. Garestier bafoue notre droit d’expression

Messieurs,

Les conditions que vous nous imposez pour l’expression de notre groupe dans le bulletin municipal étant inacceptables et relevant plus de la désinvolture et du mépris à notre égard que du respect élémentaire qui nous est dû, nous avons décidé de nous exprimer par un espace blanc en guise de protestation.

Ceci s’ajoute aux nouvelles conditions qui nous sont imposées pour nous réunir. Trop c’est trop…..

Vous trouverez ci-joint notre expression pour septembre et nous vous remercions donc de nous réserver un espace blanc de 8cm de haut sur une colonne en guise d’expression de notre groupe avec l’explication mentionnée.

Bien à vous,
Michel CHAPPAT

Nage en eaux troubles

La vérité sur la fermeture de la piscine et les manipulations médiatiques de M. Garestier

1) Historique des derniers jours :
M. Garestier nous a invités (I Wane, M Haye, P Le Guérinel et moi-même) à une réunion d’information tenue vendredi dernier 03 avril 2015 à 18h30. Il nous a informés de sa décision de fermer la piscine temporairement (un mois) au vu d’un rapport technique du Bureau Veritas et dans l’attente d’un rapport complémentaire (ou contradictoire ?) demandé à Qualiconsult pour le 15 avril 2015.
Il a précisé que la structure de la piscine ‘’posait problème’’ et qu’il ne voulait pas faire prendre le moindre risque aux usagers.
Il nous a indiqué qu’un rapport du même Bureau Veritas de 2009 recommandait des interventions sur la structure (le bâti) de la piscine.
Ces deux rapports nous ont été remis ainsi que la lettre du maire (dont la distribution était commencée depuis le début de l’après midi) dans laquelle nous avons découvert qu’il mettait en cause l’action de G. Mougeot et qu’il nous associait à sa décision.

D’ores et déjà, M. Garestier annonçait à la population qu’il nous avait consultés et que nous avions donné accord sur certains aspects avant même de nous avoir informés et rencontrés. Est-il exagéré de parler de mensonge et de tricherie ?…

2) Sur les rapports Veritas :
Le rapport du 28/10/2009 a été transmis aux services techniques. Il s’agissait d’une aide à la décision sur la gestion du patrimoine, en l’occurrence le centre nautique.
Ce rapport (dont je n’avais jamais entendu parler) n’était ni alarmant ni alarmiste. Il recommandait un ordre de travaux qui devait se traduire dans le programme d’actions de nos services.
Je dois dire, après vérifications, que les propositions budgétaires de nos services de 2011 à 2013 ont repris (nous dirons par prudence ‘’pour l’essentiel’’) ces recommandations. J’ajoute que les décisions budgétaires ont respecté les priorités des services de la mairie, sans censure financière, et ont été étalées.
Rien n’a été proposé dans le budget de 2014 (ni dans l’initial ni dans un complément en cours d’année). Pour 2015, les propositions d’investissements concernent des appareillages techniques et aucunement les éléments de sécurité et de structure.

Il faut savoir que M. Garestier a fait voter début 2015 une avance sur travaux de 600 000 € non affectée : il avait donc toute latitude pour faire entreprendre des réparations urgentes. Il ne l’a pas fait : POURQUOI ?

Le rapport du 19/03/2015 corrigé le 03/04/2015 reprend la même méthodologie avec le même objectif d’optimisation du patrimoine, en intégrant toutefois une évolution de la réglementation technique et normative.
De son côté l’équipement a vieilli de 5 ans.
Ce rapport donne une liste d’actions de réparations à prévoir (51 au total dont 14 urgentes et 2 études complémentaires).
Quatre actions prioritaires sont mentionnées nécessaires dans un ‘’court délai’’ ou avec ‘’traitement immédiat’’ (ce qui ne veut pas dire remplacement complet immédiat mais peut signifier des mesures de sécurité ou de protection immédiates) ainsi qu’une étude complémentaire:

  • Remplacement du faux plafond (protégé par un filet de sécurité depuis plusieurs mois pour parer à toute chute d’éléments) dans un ‘’délai court’’.
  • Rénovation et renforcement localisés de certains poteaux de structure métalliques corrodés.
  • Rénovation de la peinture anticorrosion.
  • Réfection de l’étanchéité de toiture et des évacuations d’eaux de pluie qui n’ont visiblement jamais été entretenues…
  • Investigations complémentaires sur la solidité et la stabilité des murs (pose de jauges), sans autre alerte.

Ce rapport est clair. Il ne recommande pas de fermer en urgence l’équipement. Il ne signale pas de risque de structure qui pourrait entrainer une ruine totale ou partielle.
Que certains techniciens renoncent à proposer un programme complet de rénovation phasé et préfèrent une reconstruction totale ne m’étonnera guère. Je ne fais pas partie de ceux-là. Une remise à niveau d’un édifice vieux n’est une tache ni facile ni valorisante mais elle peut être efficace, sans interruption longue du service.
Quand on détecte une fuite dans le toit d’une maison, avec pour origine quelques tuiles cassées, on ne se précipite pas pour remplacer toute la toiture et encore moins pour reconstruire sa maison ; on fait remplacer les tuiles cassées et on répare les fuites….
Quand une poutre est abîmée, on la fait renforcer, on ne condamne pas automatiquement la maison ; on ne quitte pas précipitamment sa maison.
Quand une maison présente des fissures structurelles dûes à la sécheresse, on ne s’empresse pas de la détruire ni de la quitter. On la fait réparer sans évacuation…
3) Sur la décision de fermeture :
S’agissant de sécurité des personnes, toute décision relève de la personne qui est en charge de la prendre en son âme et conscience, et d’elle seule, au vu des éléments dont elle dispose et de l’avis de son entourage (d’expérience, je dirais qu’on n’est pas toujours aidé sur ce plan…).
Y avait-il nécessité de fermer la piscine dans l’urgence, voire dans la panique : NON.
Y avait-il nécessité d’entreprendre ou de programmer sans délai des travaux de réfection : OUI
Et il est étonnant que les interventions de réparation de structures dont l’usure est visible (par exemple la corrosion des extrémités de poteaux) n’aient pas été proposées plus tôt : ce sont des réparations que je qualifie de ‘’faciles’’.
La situation présente-elle des risques imminents de ruine ? Au vu des rapports Veritas : NON.
Y avait-il une accélération du risque pour les usagers entraînant leur éloignement ? NON à mon sens. Mais, dès lors qu’une usure avancée de certaines parties de l’équipement était mise en évidence, il y avait nécessité de prendre des mesures techniques de précautions ce qui n’a pas été fait.
4) Sur la méthode de M. Garestier :
Depuis des mois, M. Garestier et son équipe passent leur temps à critiquer par tous les moyens ce que nous avons fait jusqu’en 2014.
Ils suppriment, éliminent, mettent en cause sans beaucoup de réflexion ; tout y passe.
Aujourd’hui, dans le dossier ‘’Piscine’’, M. Garestier met en cause son prédécesseur dans une lettre à la population éditée sur crédits publics, sans que G. Mougeot et nous-mêmes ne puissions répondre devant la population.
L’outrance va même plus loin puisqu’il annonce nous associer à ses décisions avant même de nous consulter, sans même que nous soyons informés !!…
Ces méthodes sont scandaleuses. Elles sont dignes de l’extrême droite et cela pose un grave problème.

Pourquoi une telle panique ? Pourquoi une telle mise en scène ?

En matière de sécurité, il faut agir de manière proportionnée avec sang-froid et mesure.
M. Garestier nous donne un très mauvais exemple.

Il faut savoir que certains adjoints de M. Garestier annonçaient dès la fin 2014 dans des cercles restreints que la piscine serait fermée mi 2015.
On peut comprendre que M. Garestier soit prisonnier de ses promesses.
On peut comprendre qu’il ne sache pas comment affronter la difficulté budgétaire : engager 2 millions d’euros de travaux de mise à niveau de la piscine ne semblait pas dans ses priorités malgré ses engagements électoraux de faire un nouveau centre nautique et ludique en concertation avec la population…
En outre, fermer la piscine fait, en première apparence, économiser son coût de fonctionnement annuel net (de l’ordre de 700 000 € )… Ceci peut éviter une augmentation d’impôts…

Mais prendre une décision dans la précipitation, privant de travail les personnels de la commune qui travaillent à la piscine et les salariés des associations et sans rechercher de solution transitoire pour les usagers, les associations, les scolaires relève d’un sens particulier des responsabilités que nous ne partageons pas.

Espérer que la CASQY acceptera de bonne grâce de reconstruire à ses frais un centre nautique neuf est à mon sens une chimère… !!! Mais, pourquoi pas ! puisque cet équipement a depuis son origine une vocation supracommunale alors que son budget était supporté en exclusivité par Maurepas.

Tout ceci justifie-t-il ces embardées permanentes de M. Garestier, sa haine de ses prédécesseurs, ses critiques incessantes et pour la plupart mensongères ?
Bien évidemment NON. En tout cas, nous sommes en opposition totale avec ces méthodes indignes et d’un autre âge.

J’en conclus que la fermeture précipitée (en apparence) de notre piscine est un coup politicien de M. Garestier. C’est bien dommage pour Maurepas !

Michel CHAPPAT                                                                                                                                          10-04-2015

 

Le dossier sur l’intercommunalité suite..

M. Garestier a organisé une consultation auprès de vous. C’est faussement démocratique car on ne pose pas les vraies questions.
Bien entendu, personne ne voit Maurepas incluse de force dans cet énorme conglomérat de 800 000 habitants de Versailles à Saclay, fruit d’une réflexion politique très parisienne. Pas d’explication publique, aucune autre concertation que des conciliabules de couloir politiciens.

Ce qu’on vous cache c’est que Saint Quentin en Yvelines (CASQY) a voté l’absorption de Maurepas et Coignières. Aucune information de la part de la municipalité, pas informée malgré les liens entre MM Fourgous et Garestier….

Début 2014, nous avons rejoint la communauté des Etangs et Coignières, Le Perray, Les Essarts, Les Bréviaires. En mars 2014, vous y avez élu nos représentants. Nous y sommes prépondérants ; elle a une taille humaine de 38 000 habitants.

Cette adhésion a permis de baisser mécaniquement nos impôts.

Nous souhaitons y rester pour bâtir un avenir maîtrisé.

Etre inclus dans une communauté surendettée (la CASQY a une dette unitaire six fois plus forte que Maurepas), c’est prendre le risque que Maurepas perde son âme :

 Coûts administratifs énormes contrairement à ce qui est dit.
 Dégradation indirecte de la situation financière.
 Perte de la maîtrise de l’urbanisme.

 Risque sérieux de contentieux car on violerait votre vote.

Nous disons NON à ces manigances.

Excellente fin d’année pour une ville apaisée et une politique responsable

Michel CHAPPAT – Florence BARY-SCHWARTZMANN

Constructions au village et Malmedonne : les mensonges de G.Garestier

Madame, Monsieur,
Le PLU adopté à l’unanimité par le conseil municipal actuel – y compris par les amis de M. Garestier – ne permet pas de construire 500 logements au village, ni 300 à Malmedonne. Notre adversaire, le sait. Alors pourquoi colporter de fausses nouvelles ! les fermes sont protégées. Elles sont classées éléments remarquables au PLU. Un oubli, une méconnaissance des règles de l’urbanisme, le candidat de “l’alternance”, alterne entre mauvaise foi et/ou méconnaissance du code de l’urbanisme, pourvu que cela fasse peur!

Bétonnage du Village, atteintes au patrimoine, insécurité croissante… Ces sujets sont préoccupants pour vous et nous le comprenons. Mais il faut simplement revenir à la vérité. Faire peur à des fins purement électoralistes n’est pas digne de gens qui veulent être maires.

Mieux vaut de l’information et un véritable échange avec vous. Contrairement à d’autres nous sommes prêts à répondre à toutes vos questions en toute transparence.


• Le PLU est-il une menace pour votre quartier ? Non !

Sur ce sujet plusieurs contre-vérités ont été colportées sans vergogne.

Le PLU permettrait de « bétonner » le village. C’est faux. Les emprises dont pourrait disposer la ville sont très peu nombreuses. Les terrains éventuellement disponibles sont quasiment tous des propriétés privées. On n’expropriera pas des Maurepasiens pour construire ! Les Douves et les Rigoles royales sont protégées.

Les terrains permettant de construire sont moins nombreux qu’on le pense car la réglementation protégeant les espaces boisés s’applique : il est interdit de bâtir en lisière de bois, l’interdiction s’étendant à 50 mètres à partir de la bordure de la zone boisée. Ceci rend toute une large partie du Village intouchable.

Le plan d’urbanisme impose en outre des règles contraignantes, notamment sur le plan esthétique. On ne peut bâtir comme on le veut.

• Notre patrimoine historique et naturel sera-t-il détruit ? Evidemment pas !

Oui, nous créerons une « Maison du patrimoine ». Ceci permettra de développer l’action associative pour mieux faire connaître le passé de Maurepas.

Oui, nous protègerons les bâtiments présentant un réel intérêt architectural. Il n’est pas question de raser les fermes comme certains le disent. Elles sont classées éléments remarquables.