Les masques tombent

Depuis son élection, M. Garestier passe son temps à une propagande post électorale très autosuffisante.

Le réveil est rude :
Il avait promis de ne pas appliquer la réforme des rythmes scolaires… Il y est contraint car un maire doit appliquer la Loi.
Il avait critiqué les finances de la commune… Ils ont approuvé sans remarque les comptes de l’année 2013 avec des excédents de 750 000 €…
Sans aucune retenue, il récupère ce que nous avions construit : l’informatisation de la mairie; les tableaux numériques pour les écoles; les travaux sur le CD13 et la route de Villeneuve.

La nouvelle majorité n’a pas tardé à marquer son style : un climat pesant mêlant mépris et intimidation amène des cadres à quitter la commune écœurés.
L’accroissement de la police municipale, engagement idéologique, se fait sans délibération du conseil municipal : on régularisera plus tard… Cette dépense est inutile quand il faut serrer la gestion.
On supprime la saison culturelle à A Camus. On supprime la fête de la ville, le bal du 14 juillet ; on crée des difficultés au comité des fêtes pour le feu d’artifice comme pour punir les maurepasiens et les priver d’amusement. Mais on achète un commerce place des Echoppes pour y loger la police. Ce n’est pas ainsi qu’on redynamisera le centre-ville : du pur gaspillage.

Cette municipalité manie le slogan et la communication, avec un maire très branché sur les réseaux sociaux mais qui ne répond pas aux courriers.

Aujourd’hui, première atteionte à l’esprit associatif : on punit les pratiquants du tennis sous prétexte que les dirigeants ont commis des fautes (toutefois sans conséquence sur les finances..).

Nous ne voulons pas, nous, de cette crispation généralisée. Nous œuvrons pour une ville apaisée.

N’hésitez pas à contacter sur ce site nos élus Michel CHAPPAT, ancien premier adjoint au maire et Florence Bary, ancienne adjointe aux secteur social.
DSC00223 MC  - 2013-07