Archives mensuelles : septembre 2014

Michel CHAPPAT envoie G Garestier devant le tribunal

Sitôt élus la nouvelle équipe municipale n’a eu de cesse que de réduire les droits d’expression :

25% de moins dans nos expressions libres mensuelles (malgré les propos rassurants en commission) et 20 % de présence en moins dans les commissions.
Non satisfait de cela, M. Garestier s’est permis d’adresser à Michel CHAPPAT un courrier l’enjoignant de ne plus parler aux services. En même temps, il ordonne à la directrice des services de diffuser une circulaire dans le même sens.
Michel CHAPPAT a déféré ces deux documents honteux en annulation devant le tribunal administratif (voir les pièces jointes) pour discrimination contraire à la Constitution..
Lamentable de la part de Garestier…

Circ Demiguel 2014-07-31

Garestier Interdiction 2014-07-30 Recours TA contre doc 2014-07-30.signée.2014-09-24.signée

Pour le maintien de la Communauté de communes des étangs

De gouvernement en gouvernement, la nième réforme territoriale est menée d’aussi piètre façon parfaitement anti démocratique.

A peine intégrée à la Communauté de communes des étangs (CCE) que la préfet de région, sans s’informer une seule seconde de la situation locale, envisage de rattacher Maurepas et Coignières à un immense nouvel ensemble de 750 000 habitants de Versailles à Saclay, élargissant ainsi le périmètre du fameux OIN auquel nous n’avons jamais adhéré.

Michel CHAPPAT et Florence BARY-SCHWARTZMANN ont décidé de participer au collectif qui s’opposera à ce projet jugé inepte. Michel CHAPPAT en a été désigné trésorier.

Etre intégré, qui plus est de force, à un tel ensemble ou à la CASQY (qui de toute façon disparait car n’atteignant pas les 200 000 habitants imposés par la loi du 14-01-2014) entraînerait pour Maurepas deux conséquences néfastes :

1)      La perte de la maîtrise de l’urbanisme avec l’obligation de beaucoup plus de logements sociaux que prévu…

2)      La perte de l’autonomie financière avec risque d’augmentation des impôts à terme à cause de l’endettement de la CASQY et des autres organes réunis dans ce monstre de 750 000 habitants.

N’hésitez pas à nous rejoindre par notre contact.

Tennis-club de Maurepas : Epilogue et Bravo

La municipalité Garestier (du moins une partie de celle-ci) a bien tenté de faire chavirer le Tennis Club de Maurepas après quelques imprudences administratives de son Président.
Elle n’a pas entendu notre demande de différer ce funeste conseil municipal du 04 septembre ni de reporter les décisions privant le club de subventions et d’aides de la commune.
Le Tennis club a décidé de se redresser : le 19 septembre il a renouvelé son équipe de direction maintenant dirigée par le président F. Godfrin entouré de 14 volontaires.
Nous les félicitons et leur souhaitons bonne chance pour la suite.
Nous ne pouvons que regretter la manière dont M. Garestier a instrumentalisé cette affaire pour sa propagande personnelle au travers de la Lettre du maire (dont nous surveillons maintenant le contenu qui doit respecter le bon usage des deniers publics et permettre à notre sensibilité de répondre quand elle est attaquée..).

Garestier et le monde associatif : l’épisode du club de tennis

Nous avons été convoqués en urgence le 04 septembre dernier pour statuer sur le sort du club de tennis de Maurepas, après que M. Garestier eut inondé les boîtes à lettres des maurepasiens d’une nouvelle tribune de propagande indiquant des dysfonctionnements passés donc imputables à notre gestion…. Promettant la transparence sans plus de précision….
De quoi s’agit-il ? Fin 2013, les dirigeants de ce Club se sont chamaillés, certains choisissant de démissionner, laissant le président quasiment seul pour gérer l’association. On murmure ici et là que les élections municipales ne sont pas étrangères à cette situation, le président Esnault figurant sur une liste candidate concurrente de la liste Garestier ce qui aurait déplu aux amis de Garestier…
Pour constituer son dossier de demande de subvention 2014, M. Esnault aurait commis quelques erreurs fautives, en indiquant par exemple la tenue d’une assemblée générale, en fait fictive… Ceci aurait été dénoncé par les démissionnaires, certains susurrent par vengeance et règlement de comptes n’ayant rien à voir avec le sport…
Quand une association rencontre des difficultés, que peut faire la mairie si elle est saisie ?
Agir dans la discrétion et l’efficacité pour remettre l’association sur de bons rails et conforter son activité sans porter atteinte aux adhérents. C’est le choix que nous avions toujours fait avec G. Mougeot qui informait son opposition dans la discrétion. Les résultats ont toujours été positifs…
Ou, le tapage de propagande comme l’a choisi Garestier : la lettre de propagande avec allusions déplacées nous mettant en cause sans que nous puissions répondre ; aucune information de l’opposition. Sauf que dans ce cas, Garestier est contraint par l’article 40 du code de procédure pénale de ‘’dénoncer ‘’ la situation auprès de la Justice. L’a-t-il fait ? Il ne répond pas à nos questions. La transparence a ses limites…
Il préfère punir brutalement le Club de tennis et ses adhérents (qui n’y sont pour rien et dont certains siègent au Conseil municipal) mettant en péril son existence au lieu de patienter, de travailler de concert avec L’Office municipal des sports pour trouver une solution pérenne pour l’avenir (ce qui est facile avec des bonnes volontés).
Cette attitude d’intimidation casse l’esprit de partenariat avec le monde associatif et fait preuve d’irresponsabilité. Il est vrai que, quand on est membre de l’UMP qui multiplie les dossiers judiciaires liés au financement et au détournement de fonds… on se précipite pour saisir toute occasion pour brouiller cette vilaine image.. Garestier n’y échappe pas mais il a tort de prendre le monde associatif pour cible malgré le sourire de façade. Il y a lieu de rester très vigilant sur cette dérive extrémiste qui se rajoute à d’autres….
Nous nous sommes insurgés contre cette orientation. Nous avons tenté sans succès (la majorité Garestier faisant bloc) de faire reporter le conseil municipal du 04 septembre ; puis de faire reporter l’application des punitions (réduction de subvention; de moyens mis à disposition etc…).

Les masques tombent

Depuis son élection, M. Garestier passe son temps à une propagande post électorale très autosuffisante.

Le réveil est rude :
Il avait promis de ne pas appliquer la réforme des rythmes scolaires… Il y est contraint car un maire doit appliquer la Loi.
Il avait critiqué les finances de la commune… Ils ont approuvé sans remarque les comptes de l’année 2013 avec des excédents de 750 000 €…
Sans aucune retenue, il récupère ce que nous avions construit : l’informatisation de la mairie; les tableaux numériques pour les écoles; les travaux sur le CD13 et la route de Villeneuve.

La nouvelle majorité n’a pas tardé à marquer son style : un climat pesant mêlant mépris et intimidation amène des cadres à quitter la commune écœurés.
L’accroissement de la police municipale, engagement idéologique, se fait sans délibération du conseil municipal : on régularisera plus tard… Cette dépense est inutile quand il faut serrer la gestion.
On supprime la saison culturelle à A Camus. On supprime la fête de la ville, le bal du 14 juillet ; on crée des difficultés au comité des fêtes pour le feu d’artifice comme pour punir les maurepasiens et les priver d’amusement. Mais on achète un commerce place des Echoppes pour y loger la police. Ce n’est pas ainsi qu’on redynamisera le centre-ville : du pur gaspillage.

Cette municipalité manie le slogan et la communication, avec un maire très branché sur les réseaux sociaux mais qui ne répond pas aux courriers.

Aujourd’hui, première atteionte à l’esprit associatif : on punit les pratiquants du tennis sous prétexte que les dirigeants ont commis des fautes (toutefois sans conséquence sur les finances..).

Nous ne voulons pas, nous, de cette crispation généralisée. Nous œuvrons pour une ville apaisée.

N’hésitez pas à contacter sur ce site nos élus Michel CHAPPAT, ancien premier adjoint au maire et Florence Bary, ancienne adjointe aux secteur social.
DSC00223 MC  - 2013-07